Le référendum britannique sur la sortie de l'Union européenne aura lieu en 2016. C'est ce qu'a annoncé David Cameron à l'issue de son élection ce week-end. L'occasion pour l'organisation supranationale de renouer avec le concept de démocratie, à condition qu'TN Pas Cher elle saisisse cette chance. Atlantico : Un destin commun en Europe est-il vraiment envisageable ? Si oui, quelle forme pourrait-il prendre ? Jean-Luc Sauron : En réalité, c'est le Nike Shox fondement même de la démocratie que Valéry Giscard d'Estaing pose lorsqu'il se demande "Comment un citoyen britannique de la base peut-il se faire une opinion sur l'avantage ou l'inconvénient de rester dans l'Union européenne ?". La construction et le fonctionnement de l'Union européenne ne sont pas plus complexes ou plus simples à conna?tre que l'appréhension précise des compétences entre les différents niveaux territoriaux en France (Etat, régions, conseils départementaux, conseils municipaux). Qui sait réellement qui fait quoi ? Et pourtant, la population est attachée et se sent représentée par ses élus en France. Par ailleurs, le gouvernement britannique a fait une trentaine d'audits, secteur par secteur, pour voir ce que l'Union européenne apporte ou non à la Grande Bretagne. Le citoyen britannique, qui veut se renseigner, a une Nike Air Maxqualité d'informations que le citoyen fran?ais est loin de posséder. Florent Parmentier : Il est évident que le discours qui a prévalu après la Seconde Guerre mondiale, présentant l'Europe comme une chance historique pour la paix sur le continent, n'est plus efficace. Il garde un pouvoir d'évocation pour les anciennes générations ; les quadragénaires continuent de voir l'Europe à travers le prisme de la réunification du continent après 1989 ; en revanche, un européen de vingt ans aura vu l'Union européenne depuis une dizaine d'années comme une institution en crise politique.
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